Michel et le Seo

Comment fonctionne le Netlinking ?

Par Michel-tanner , mis à jour le 13 septembre 2023 à 20:52 - 6 minutes de lecture
tout savoir sur le netlinking

Bon, le web, c’est comme le marché du village : si personne ne signale où acheter les meilleures rillettes, tout le monde finit au supermarché du coin. Eh bien, sur Internet, c’est pareil avec le netlinking. Les liens qui pointent vers un site, ce sont des coups de projecteur, des coups de pouce, parfois même de bons vieux copinages numériques. Ce système, loin d’être un concours de popularité de cour d’école, influence à mort ton référencement sur Google et compagnie. Un site inconnu sans lien, c’est comme un bon saucisson caché dans une cave : personne ne le trouve, personne n’en profite.

Les as du SEO, ce sont ceux qui savent aussi bien cultiver leur réseau que leur potager. Avec des outils comme Ahrefs, SEMrush ou encore Moz, surveiller ses précieux backlinks devient presque aussi jouissif que mater la météo avant un barbecue. Et gare aux liens foireux, sinon Google vient jouer les gendarmes et plomb le festin. Une vraie jungle où il faut apprendre à semer – et récolter – sans se faire bouffer tout cru.

Netlinking et référencement naturel : pourquoi tout le monde en parle ?

Le netlinking, bras droit du référencement naturel, s’est imposé comme l’art de décrocher les fameuses recommandations du web. Imaginez un restaurateur local qui décroche une étoile au guide du coin : soudain, tout le monde veut réserver une table. Eh bien, en SEO, chaque backlink solide, c’est une étoile de plus collée sur la devanture numérique de votre site.

Mais attention, le badge doit venir d’une bonne adresse ! Un lien venu d’un obscur site douteux, c’est comme un vieux fromage frelaté : ça pue et ça peut intoxiquer ton classement. Google – qui inspecte le quartier avec sa Google Search Console – note tout, surveille tout, et saura vite si tu triches. Majestic ou Linkody donnent aussi des coups de pouce pour suivre qui te fait honneur… ou te colle une casserole.

  • ⭐️ Plus on a de liens de qualité, plus on grimpe dans les résultats
  • 🔎 Un lien d’autorité = crédibilité béton auprès des robots de Google
  • 🚦 Fuir les liens douteux pour éviter les pénalités

Et pas besoin de jouer les marchands de tapis : en 2025, les trucs louches se font zapper vite fait. La qualité prime sur la quantité. Un lien bien choisi, avec une belle ancre sur une page costaud, fait bien plus d’effet qu’une ribambelle de liens bidons. C’est la loi du marché, même Google s’y soumet : une autorité, ça se mérite, pas question de l’acheter au rabais !

Les deux visages du netlinking : naturel vs artificiel

Le netlinking naturel, c’est Henri qui tombe sur ton tuto jardinage et cite ta page parce qu’il l’a vraiment aimée. Le côté artificiel, c’est l’achat de liens à la chaîne ou les échanges dignes d’un club de pétanque. Depuis que Google surveille tout avec Penguin, vaut mieux miser sur le naturel pour ne pas finir au trou numérique. Un lien « do follow » bien placé, et hop ! Google te repère. Mais si dix liens viennent du même blog obscur, prépare-toi à finir en page 12.

Mise en place d’une stratégie de netlinking gagnante

Faut pas rêver : le netlinking, ça ne s’improvise pas, comme une barbecue party chez la belle-mère. Faut d’abord se poser, checker ses liens avec Screaming Frog ou SEMrush, histoire de voir si votre site n’a pas déjà une armée de fantômes (liens cassés, erreurs 404 ou copains pas très fréquentables). Ensuite, vient le temps de la chasse aux bons liens.

La technique préférée ? Rédiger un contenu qui sent bon le terroir numérique. Un guide pointu, une étude marrante, un article qui fait le buzz sur BuzzSumo : le but, c’est que ça donne envie à d’autres de te citer. Et quand c’est fait, on passe aux emplettes, en mode commando, pour trouver les bons domaines (via Ubersuggest ou Moz) et proposer des échanges raisonnés. Pas question d’inonder tout le village d’invitations ; le naturel, hein !

  • 📊 Faire un audit de ses backlinks régulièrement
  • Cibler les sites au top dans votre thématique
  • 📬 Soigner ses messages quand on démarche
  • 🖋️ Offrir du contenu unique et partageable
  • 🔄 Veiller à la diversité des sites sources pour ne pas trop chauffer les radars de Google

Le suivi, c’est le secret des costaux. Avec Monitor Backlinks, un œil sur ce qui bouge et, celle-là, personne ne te la pique ! Attention aussi à garder à l’œil ses concurrents comme on surveille son voisin du jardin à la veille du concours à la plus grosse courgette : ça évite les mauvaises surprises.

Les pièges courants et astuces de vieux briscard

Le netlinking, ce n’est pas non plus le far west : ça marche sur la patience et un brin d’astuce. À vouloir grimper trop vite, beaucoup se plantent comme des radis hors saison. Ceux-là, Google leur met une prune, et hop, dégringolade générale. L’algorithme préfère ceux qui avancent masqués mais réguliers.

Une anecdote du secteur : Lucien, vendeur de paniers à champignons, a doublé son trafic en misant sur 12 liens en or, reçus grâce à des articles invités bien ficelés. Pas de spam, mais du contenu aux petits oignons, sur des blogs d’experts. Du home made qui rapporte plus qu’un container de backlinks chinois.

  • ⚡️ Vérifier les erreurs 404 régulièrement avec Google Search Console
  • 🔧 Éviter à tout prix les liens dupliqués et les footers douteux
  • 🎯 Viser l’ancre idéale : ni trop vague, ni trop bourrine
  • 🔎 Utiliser les outils comme Ahrefs ou Linkody pour surveiller ce que font les rivaux
  • Privilégier la régularité sur la grosse artillerie

Là-dessus, mieux vaut faire un seul bon infographie que quinze blagues ratées. Avec le netlinking, c’est un peu comme le jardinage : ça prend du temps, ça demande du soin, et il y a des années plus fastes que d’autres. L’essentiel, c’est d’avancer, de surveiller la météo SEO… et de ne pas oublier d’arroser vos liens de temps en temps, histoire qu’ils portent (vraiment) leurs fruits.

Michel-tanner