Le lancement de Windows 12 retardé alors que Microsoft se concentre sur la mise à jour 25H2 de Windows 11
Bon, tenez-vous bien : pas de Windows 12 cette année, mais un gros coup de tournevis sur Windows 11. Alors que les geeks du dimanche et les DSI à l’ancienne attendaient le nouveau cru signé Microsoft, voilà que la firme sort la carte « on remet à plus tard, les gars ». Résultat : la mise à jour 25H2 se pointe comme la future star, avec son lot de promesses. Cette stratégie, pas piquée des hannetons, remet tout le bazar technologique en perspective et laisse planer un bon parfum de changement. Entre crispation des fans de système d’exploitation et enthousiasme des fidèles du logiciel qui marche, la valse hésitation s’invite à nouveau sur le parquet de l’innovation.
Microsoft fait l’impasse sur Windows 12 pour muscler Windows 11 : pourquoi ce virage surprenant ?
Pas la peine de sortir le champagne (bon, sauf si c’est pour accompagner la plancha…), Windows 12 vient de passer par la case « attends un peu, coco ». Les rumeurs allaient bon train depuis un moment, et voilà que Microsoft décide de mettre le pied sur le frein côté nouveauté tape-à-l’œil. La firme opte plutôt pour une mise à jour 25H2 bien costaude sur Windows 11.
Prenez Gérard, administrateur réseau à la mairie de Marignane. Il s’attendait à gérer une nouvelle migration galère cet automne, et finalement, il peut souffler — pas de big bang logiciel à l’horizon. Cette nouvelle version repose sur la même plateforme technique que la précédente, la 24H2, histoire de ne pas chambouler tous les postes du parc. Fini les mises à jour qui durent trois plombes : c’est une simple activation par paquet, comme changer une ampoule LED plutôt que refaire tout l’appartement.
Concrètement, la stratégie de Microsoft, c’est un peu comme remplacer un robinet plutôt qu’abattre la salle de bains. Les nouveaux ajouts restent planqués dans la mise à jour, prêts à surgir dès qu’il y a un feu vert niveau développement informatique. On sent bien la patte du géant US, qui tente avant tout d’attirer vers Windows 11 les allergiques à l’évolution (coucou, les irréductibles de Windows 10).
Ce choix n’est pas juste technique : il est aussi stratégique. L’arrêt du support officiel de Windows 10, prévu pour octobre, pousse les entreprises comme les particuliers à migrer. La mise à jour 25H2 ne change pas la coque, mais muscle la bête sous le capot, sous couvert de stabilité et nouvelles options. Hein, qui a dit que l’innovation ne passait que par un grand saut ?
La mise à jour 25H2 : entre innovation cachée et évolution tranquille du système d’exploitation
La 25H2, c’est le dessert caché sous la cloche : pas d’annonces tonitruantes, mais tout pour bichonner la robustesse du système d’exploitation. À la différence d’un Windows 12 clinquant, cette version améliore la stabilité avec un modèle qui ressemble à ce qu’on avait déjà vu sur Windows 10 version 1909. Les fonctionnalités sont dans les tuyaux, désactivées, prêtes à émerger quand elles seront « bien cuites ».
Michel, fondateur du forum « PC-Jardins & Chichoufs », s’est déjà amusé à décortiquer la 25H2 avec ses copains bricoleurs. Résultat : le processus d’update se fait en douceur, sans avoir à réinstaller le fromage ni la charcuterie. Même tata Odile peut activer les nouveautés sans perdre des cheveux sur une réinstallation pénible.
Point précieux, la 25H2 prolonge la durée de vie du logiciel. Les entreprises et écoles profitent de 36 mois de support solide, tandis que les particuliers « de la maison » héritent de deux ans de tranquillité. Une aubaine pour ceux qui n’aiment pas trop changer leurs habitudes, voire pour ceux qui croient encore que « ce qui marche, on n’y touche pas ». L’innovation, chez Microsoft, c’est aussi savoir dire « on emballe, on range, mais on ne casse rien ».
Gain de temps et de sécurité, évolutions d’interface peaufinées au fil de l’eau : la grosse surprise, c’est cette capacité à tout faire passer pour une simple mise à jour mensuelle, alors qu’en réalité, la bête change de moteur sans bouger le capot. L’exemple est parlant : si on compare à ces applis qui changent tout sans prévenir et vous laissent dans la panade, là, Microsoft préfère l’art du pas de côté – prudent, mais malin.
Quelles conséquences pour l’écosystème informatique : innovation ou prudence stratégique ?
Ce petit jeu du « j’avance, mais pas trop vite » génère des réactions contrastées. Les champions du développement informatique se rassurent : pas besoin de tout réécrire, la base reste la même. Pour les fabricants de PC, c’est du velours aussi : pas de tremblement de terre côté technologie ou compatibilité matérielle.
Côté utilisateurs avertis, comme ces retraités branchés qui gèrent l’association de tennis de Chelles, la 25H2, c’est la tranquillité du logiciel qui s’actualise sans déranger la partie de belote. Ni feux d’artifice, ni mauvaises surprises. Mais attention, le revers de la médaille existe : la tentation de s’endormir sur ses lauriers, de laisser passer le train du progrès pour ne miser que sur la sécurité peut coûter cher à Microsoft si un rival venait à souffler la flamme de l’innovation.
Pour calmer les impatients qui trépignent devant leur PC, Microsoft a tout de même mis la 25H2 en avant-première pour les Windows Insiders, histoire de récolter d’avance les remontées de terrain. Reste que la date exacte de sortie reste dans le flou, comme la météo du 15 août, mais on surveille ça comme le lait sur le feu.
Morale de l’histoire : malgré l’attente autour de Windows 12, la firme choisit une évolution lente et sûre, plutôt que la révolution façon feu d’artifice. Pas besoin de tout casser pour avancer — parfois, une rustine bien placée fait tenir le pneu sur 36 mois ! Et alors, que restera-t-il de l’année prochaine ? On en reparlera entre deux mises à jour… ou deux radis à planter !
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